Sûre de mon truc je me lance dans le montage définitif de la bête:
j’ai même commencé l’assemblage de la doublure !
Sûre de mon truc je me lance dans le montage définitif de la bête:
j’ai même commencé l’assemblage de la doublure !
La toile : celle qui fait tout.
Celle qui est essentielle , existentielle.
Celle dont on apprend vraiment, qui sert à comprendre , à se tromper.
Premier jet : quand on fait les plis dans le mauvais sens:
On plante le décors : des feuilles , une règle, un crayon papier, du scotch, des surligneur, une paire de ciseaux et une calculatrice !
Chaque partie colorée correspond à une description du texte d’observation de Catharine Niven. Les chiffres sont les mesures inch converties en cm . Observez ce dos: si particulier. Celon la description le dos ne serait composé que deux plis formant le triangle.
J’avoue avoir eu envie de tester le dos en fourreau du coup je me suis considérablement compliquée la vie . Le montage aurait pu être si simple si je mettais contenté de reproduire le dessin. Même si ma robe aura l’apparence voulu au finale, elle ne sera donc pas une reproduction fidèle à la description qu’en fait Catharine Niven . J’ajouterais que suite à plusieurs problèmes j’ai du repenser la robe et qu’au final le dos n’a plus vraiment rien à voir avec ce que personnellement j’en aurais espéré. On apprend de ses erreurs et je pense en avoir fais beaucoup aussi j’espère en avoir appris beaucoup .
Pour une fois, je vais vous parlez de l’avant du commencement.
A l’origine d’un projet il y a toujours une image, une idée.
A partir de cette Image (de cette idée je construis mon projet).38
Quand j’ai démarré la couture, j’achetais mon tissu au grès de mes envies sans savoir si j’allais un jour les utiliser. Résultat j’ai de gros cartons pleins de tissus qui stagnent.
Par la suite j’ai changé de méthode : j’avais un coup de cœur pour un patron et j’achetais le tissu en fonction de mon patron.
A présent : je pars d’une image, je ne me soucie pas du patron, je fais quelques recherches et puis je m’évertue à trouver le patron ou quelque chose qui lui ressemble (je le modifie) ou je le fabrique moi-même et enfin j’achète mon tissu.
Pour ce projet je suis donc partie d’une simple image. Comme j’adore me compliquer la tâche, j’ai choisi une robe pour laquelle il n’y a pas beaucoup de renseignements ni d’images.
Me voilà partie à la recherche de mon Graal afin de déterminer la direction que va prendre mon projet (merci google).
Mes infos de départ : Robe de mariée D’Isabella Frazer 1785 réalisée en tartan Je n’ai qu’une seule image de face. Pas de dos.